Hostages (2013)
Hostages (US)
Ellen Sanders, une chirurgienne brillante qui exerce dans un hôpital de Washington D.C., est chargée d'opérer le Président des Etats-Unis. Mais ce qui aurait dû être un honneur se transforme en un enfer : elle se retrouve au coeur d'une conspiration politique. Son mari et ses trois enfants sont pris en otage et ...
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Terminée | Américaine | 45 minutes |
Drame, Drama, Thriller | CBS | 2013 |
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1.08 - A l'origine du complot
The Good Reason
En rentrant chez elle, Ellen trouve son mari en train de frapper Duncan avec une seringue contenant du poison. Malgré les protestations de Brian, elle intervient aussitôt pour sauver la vie du preneur d'otages. Si Duncan venait à mourir, toute la famille Sanders serait aussitôt éliminée. Ellen n'a cependant pas renoncé à tenter d'empêcher l'assassinat du Président. Elle veut retrouver Nina, l'épouse de Duncan. Pour pouvoir échapper à l'attention de ses geôliers, elle prétend devoir accompagner un patient à l'hôpital de Baltimore...
Diffusion originale : 11 novembre 2013
Diffusion française :
11 novembre 2013
Réalisat.eur.rice.s :
S.J. Clarkson
Scénariste.s :
Cassie Pappas
Guest.s :
Du mouvement, une intrigue inutile et pas mal de bonnes choses après une grosse traversée du désert de trois épisodes, Hostages retrouve un peu d'inspiration en éclaircissant l'aspect politique de l'ensemble. Carlisle apparait comme une victime d'enjeu supérieur, avec en toile de fond une histoire d'espionnage qui fait intelligemment écho à l'affaire Snowden.
Et c'est là que se trouve le point positif de cet épisode qui laisse enfin apparaître des enjeux plus forts à la prise d'hotage et change les règles, donnant à la menace une nature abstraite bien plus efficace. Le personnage de Carlisle devient plus cohérent, tenant péniblement sur ses épaules une posture de méchant qui lui avait donné un côté involontairement parodique. Comme quoi, un simple changement de perspective peut vite tout changer.
Le défaut vient évidemment de la pilule du jour à avaler, à savoir l'irruption de Boyd qui ne sert clairement qu'à remplir un vide et se débarasser d'un personnage aussi agaçant qu'inutile. Sa scène sert juste à apporter une tension assez artificielle au second tiers et possède malheureusement une dimension pathétique, pour ne pas dire comique assez regrettable.
Les choses changent et s'améliorent.